Le Blog de Dif

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jeudi 30 mars 2006

Ciné Basic instinct 2


Après avoir lu les critiques presses catastrophiques, j'ai hésité.. Et j'ai eu tort.
Pas eu tort de les avoir lu, car j'ai été agréablement surpris en découvrant le film, tort d'avoir hésité.

On retrouve Sharon Stone dans le rôle de l'écrivain Catherine Tramell. Elle respire toujours autant le sexe 15 ans après le premier Basic Instinct. C'est surement la dernière fois qu'on la retrouve dans ce rôle.. Triste car j'avoue que je ne suis pas insensible à son jeu ;)

Le film nous montre la prise de possession, le contrôle et la frustration destructrice des instints basiques (amour et sexualité) d'un psychiatre. Tout en lui va céder, une à une elle se jouera de ses barrières. Jalousie puis frustration le tortureront et le feront échouer. Pour résumer, c'est du sado-maso qui touche à l'esprit. La domination est presque trop prononcée, mais elle a le mérite d'entretenir l'interêt du scénario qui nous emporte assez loin de ce que j'avais imaginé :)

Avec Sharon, c'est bon quand ça fait mal.

mardi 28 mars 2006

Actualité CPE, tu viens à l'AG ?


Cliquez sur ce lien et calez-vous à 12mn.
C'est une AG universitaire piratée par une équipe TV pour la déconne et c'est génial comment tous les étudiants tombent dans le panneau.
C'est assez énorme :D
Pour les plus courageux, du "air guitar" suivit d'un grand moment de "air fucking" à partir de 15mn50.

du 20/20 !

dimanche 26 mars 2006

Ciné Du jour au lendemain


François Berthier voit sa vie contrariée par les tracas du quotidien. Rien ne lui sourit : le chien du voisin, une femme qui part pour un autre, un bureau de merde et une cafetière explosive.. Et puis, sans raison particulière, tout change. Le chien du voisin meurt, sa femme revient, il est promu dans sa société, il arrive même à aider les autres. Tout semble parfait... Trop parfait.
Ce bonheur est trop soudain et sème le doute en lui. Que s'est-il passé ? Ce doute va se transformer petit à petit en paranoïa.

Puis chose impensable, François va renoncer au bonheur, comme s'il n'attendait plus rien de la vie. Mais peut-être faut-il comprendre que le bonheur n'est pas présent dans un monde où tout se passerait comme on le souhaite.

"Limite tes désirs des choses de ce monde et vis content." Omar Khayyâm

samedi 25 mars 2006

Actualité You used to say..


"When you were young and your heart was an open book
You used to say life and let life
But in this ever changing world in which we live in
Makes you give in and cry."

Demain je vends ma voiture. Je suis en train de tout vendre pour mieux partir.
Mais vous n'aurez pas ma liberté de penser ! rires.. :)


Paul McCartney - Live and let die

mercredi 22 mars 2006

Ciné Destination finale 3


Une danse macabre débile mais tellement drôle ! Les morts sont atroces, mais ça passe trés bien avec une bose dose d'humour noir.
C'est le troisième du genre, je suis devenu friand du concept. Le film joue avec la fascination que l'on a tous avec la mort. Les personnages la craignent tous et la défie, la rejette. Mais il est impossible d'échapper à son destin ;) Une fois que tout les persos ont leurs tickets d'entrée, on attend le jeu de la grande faucheuse pour savoir par quel moyen tordu elle va s'y prendre.

La scéne du grand huit est géniale, visuellement trés dynamique et captivante. Voici un engin assez sophistiqué dont on ne maîtrise rien une fois le bolide en marche. On sait tous qu'il y a un faible risque qu'un truc déraille...Et ça fait partie du plaisir evidemment, enjoy and let's roll.
Au final, ni mieux ni moins bien que les précédents. Certains diront que c'est du réchauffé, c'est vrai. Néanmoins j'en resors satisfait et diverti.

Live and let die.

dimanche 19 mars 2006

Ciné Mémoires d'une geisha


On l'attend depuis longtemps, "Mémoires d'une geisha" est l'adaptation du best-seller d'Arthur Golden.
Steven Spielberg avait racheté les droits, mais c'est finallement Rob Marshall (Chicago) qu'on retrouve à la réalisation.

Un film sur les mystères et les ombres de la vie d'une geisha, réalisé par un américain avec les trois plus grandes actrices chinoises : Zhang Ziyi, Gong Li et Michelle Yeoh.


Le film est trés beau esthétiquement, c'est mélo et sentimental, ça sent bon la fleur de sakura et le parfum du sake. On n'est pas si loin du Japon tel qu'il nous est décrit. C'est une production de façade où les acteurs parlent anglais. Soyons clair, le film est une contrefaçon de trés bonne facture mais ça ne sonne pas authentique, et ça reste gênant.

Ciné Underworld 2 - evolution


Des vampires, des lycans et des hybrides. Ca se mord pour le plus grand plaisir du spectateur. Le film est le second volet de ce qui sera surement une trilogie.
Tout semble filmé à travers un filtre gris-bleu aux allures gothiques, avec plus d'espaces et des décors mieux foutus que les bâtiments désaffectés du premier. Les effets spéciaux m'ont semblé beaucoup plus élaborés.

L'ensemble est un peu bancal, il n'y a pas grand chose à dire.. On est plus proche du clip que du cinéma.

samedi 18 mars 2006

Musique Gainsbourg


Vu des images d'archives où Gainsbourg joue au piano la mélodie de "Initials B.B". Ca ne laisse pas indifférent.

Même si j'ai toujours du plaisir à revoir ses conneries à la télé et ces coups de génie, je regrette qu'il ne soit plus là pour faire chier les cons et tous ceux qui "hygiénisent" notre société.

Il avait la trés grande classe..

mercredi 15 mars 2006

Livres Le blocage des "recouvrer"


Ca fait des années que je crampe la-dessus !
Presque chacun des livres que j'ai pu lire contiennent quelque chose qui me bloque : le verbe "recouvrer" à la place de "retrouvrer". A chaque fois je bloque et je me dis "merde, c'est quoi ce truc à la place de retrouver".
Mais non, on peut l'utiliser d'après le bescherelle, même si c'est moche et que ça sonne mal.

Je ne m'y ferai jamais.

mardi 14 mars 2006

Miam Lipaya !


Arrivé premier à l'adresse que j'avais noté sur un petit bout de papier, je suis arrivé au Lipaya malgré quelques soucis pour trouver une place gratuite. Resto cuisine française mais aussi bar à vin, j'ai été bien accueilli au bar avec un punch. Plutôt pas mal d'ailleurs, j'y ai tranquillement attendu le reste du groupe.

La suite s'est déroulée dans une salle située au sous-sol avec un espace séparé avec vestiaire, sono et lumières à dispo. Royale !

Pour 26 euros, nous avons trés bien mangé (punch, entrée, plat, dessert, café, rhum arrangé offert !). C'est agréable d'être dans un coin isolé, c'est plus facile pour se lâcher entre amis qu'au milieu d'autres tables :)
On a du quitter vers 2h sans nullement avoir eu l'impression de gêner.
N'hésitez pas, c'est trés sympa, économique et surtout c'est bon !

118 bvd de Magenta dans le 10eme à Paris.
Autres critiques

dimanche 12 mars 2006

General New York


Le 23 Janvier dernier, je citais "Le plus dur dans la vie, c'est de vivre, la plupart se contentent d'exister".

Aujourd'hui j'ai lâché les amarres. Je partirai vivre et travailler à New York en Avril !

samedi 11 mars 2006

Ciné Truman Capote



Comment la création va détruire petit à petit son auteur. D'abord objet de grandeur puis objet de souffrance.

Perry Smith et Richard Hickock ont tué quatre personnes d’une même famille. Et c'est précisement le sujet de Truman Capote qui six années durant, se documentera pour réaliser un vrai portrait psychologique des deux meurtriers sous la forme d'un récit s'appuyant sur le réel.


L'écrivain s'éprendra de Perry, et c'est là que l'auteur sera confronté à des difficultés. Le meurtier doit-il être gracié ? Son bonheur en dépend, mais si Perry est exécuté, son livre sera voué à un succès certain.
Truman assistera à l'exécution de Perry et comme prévu, le livre sera un succès qui le déchirera.

"ce sont les voeux exaucés qu'on pleure le plus."
L'interprétation de Philip Seymour Hoffman dans le rôle de Truman Capote m'a bluffé. le mimétisme des personnages est impressionnant.

L'auteur devant sa création, entre la grandeur et la décadence.

samedi 4 mars 2006

Ciné Petites confidences (à ma psy)


Avant tout, je souhaitais me déconnecter un soir pour me retrouver avec Uma Thurman. Elle me branche trop.

Le réalisateur avait initialement prévu de faire tourner Sandra Bullock, mais ça ne s'est pas fait. On a évité le désastre.

Le film est une comédie new-yorkaise bof, c'est léger, c'est pas du Woody Allen..

Mais il y a Uma Thurman, c'est de la triche.